• Les lyonnais : C'était drôlement brouillon tout ça, avec des scènes qui servent à rien, jolie photographie cependant, bonnes répliques qui pètent et très bons acteurs (en même temps on a le droit au trois quart du casting de Kaamelott livre VI, on a même le droit à l'apparition de Merlin, il a enfin eu son mariage druidique !), il manquait juste un poil de cohérence entre les scènes, et ça aurait été beaucoup plus sympa... 

    les lyonnais

     

    Time out : Le scénario de départ était plutôt bon et trèèèèès prometteur (du coup j'ai espéré beaucoup très vite), Matthew Bomer met tout le monde d'accord (ce monsieur a une puissance charismatique à toute épreuve), la deuxième partie du film est beaucoup moins enthousiasmante pour cause de Robin des bois version Bonny and Clyde un peu trop beaucoup cliché, et Cillian Murphy qui meurt (les gars c'était lui le gentil hein).

    time out

     

    Une vie meilleure : Les acteurs sont excellents, le spitch aurait pu l'être tout autant, mais il tabasse ses personnages à coup des pires scénarios possibles, ils ont vraiment une vie pourrie et quand on croit que c'est finie, ça redémarre de plus bel, je ne crois pas que ces personnages vont un jour connaitre le bonheur, il va leur arriver des merdes toute leur de vie en fait…  

    une vie meilleure

     

    Polisse : Ce film qui m'a réconcilié avec Karine Viard, qui m'a donné envie de voir toute la filmo de Nicolas Duvauchelle, qui m'a fait voir un Joey Starr hyper touchant, et qui m'a rendu encore plus (si c'est possible) admirative du jeu de Marina Foïs. Les acteurs de second sont tous touchants d'humanité (surtout, SURTOUT la jeune fille qui joue la femme en train d'accouchée, je l'ai trouvé criante de vérité). Un film comme ça, c'est juste beau, 2h15 que l'on ne voit absolument pas passer, et une réalisation formidable, sans temps morts, ni scènes inutiles. Maïwenn ENCORE s'il te plait, ne t'arrêtes jamais de tourner.

    polisse

     

    L'ordre et la morale : Kassovitz tu nous as prouvé que tu pouvais faire des films coup de poings, des films pourraient faire bouger les choses. Le propos de L'ordre et la morale est hyper bien trouvé, ça joue sur plein de chose, c'était à une époque où j'étais pas encore née (enfin, 13 mois plus tard j'étais là), du coup, je ne connais pas forcément cet événement là précis. Pour ce qui est du reste, du film dans sa forme, c'était assez horrible à regarder, Kassovitz est sans expression pendant TOUTE la durée du film, la direction d'acteurs m'a vraiment parut très mauvaises, il n'y a que l'acteur qui joue Alphonse qui m'ait convaincu (et Malik Zidi, qu'il ne faut pas oublier)… J'ai trouvé ça vraiment dommage, car le propos méritait un film vraiment bien fait… 

    l'ordre et la morale

     

    Les immortels : Je m'attendais à un choc des titans 2.0, et finalement bah non, j'ai plutôt eu le droit à un 300, parce que oui, les images sont juste magnifiques (le combat dieux Vs Titans est sympa à voir), bon l'histoire on va passer dessus, (coucou Athena, Poséidon et d'autres sont morts), mais niveau divertissement du dimanche soir, ça pourrait valoir le coup (pour une fois que je crache pas sur un film du genre… Je dois dire que pour une fois qu'ils prennent un acteur anglais en tête d'affiche, et qu'ils nous foutent Stephen Dorff en second plan, moi j'dis pourquoi pas). 

    les immortels


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  • Conan : j'ai toujours fait chier le monde avec la contrepétrie "Conan le barbare" -> "Connard le barbant"… Je pense que je peux officiellement l'appliquer à ce film là tellement il est cliché dans toutes les formes, tellement il donne envie de dormir, tellement on est triste pour les acteurs qui jouent dedans… Parce que l'histoire est archi-revue (alors même si c'est un remake, chier dans la colle à ce point là, c'est quand même grave), les scènes d'actions pareilles, les acteurs sont pas très très expressifs (oui, Khal Drogo tu n'apportes pas grand chose à part ton étonnante virilité), et la musique est chiante et archi-entendue. En un seul mot : fuyez.

    conan

    Burke and Hare (Cadavres à la pelle) : David Tennant aurait du jouer le rôle d'Andy Serkis au départ, sauf que étant trop occupé à tuer des vampires, il sait désister, du coup on a le droit à Gollum, qui LÀ, ressemble vraiment à Gollum (généralement j'arrive à le distinguer comme dans Einstein et Eddington où il était brillant), mais alors LÀ, c'est assez horrifiant. Donc Gollum se met avec son pote Simon 'Shaunofthedead' Pegg a cherché des cadavres pour le bien de la science (science dirigé par -je vous le donne en mille- le docteur Frank-N-Furter du Rocky Horror picture show). Ajouté à ça Christopher Saroumane Lee que j'avais pas reconnu, et la complice de Pegg dans Spaced Jessica Stevenson et Isla lafolledeSerialnoceurs Fisher est vous obtenez un casting assez sympathique… Sauf que le scénario est archi-revue ("archi" va devenir mon mot préféré bientôt) à part la fin, et les gags tombent donc souvent à plat (mais je dois dire que la réplique "un jour j'ai fait confiance à un pet et j'me suis chié dessus" devra obligatoirement être ressorti à toutes les sauces). Pas brillant brillant donc...

     cadavres à la pelle

    Green lantern ou comment enchainer en 2 jours 3 films que je qualifierais de… chiants, nuls voire catastrophiques. Alors même si Green Lantern a des qualités (à savoir un scénario avec plein d'espèces différentes, ou de trucs qui pètent sa mémé : un gros méchant tentaculaire qui ressemble au côté obscur de face de Boe), les gros clichés et le regard étrangement centré de Ryan Reynolds gâchent le tout (et je ne parlerai pas du mal qu'a fait Peter Sarsgaard dans mon coeur de fangirl maintenant aigri… Je suis son évolution depuis Garden State, il m'a que très rarement déçue mais là, les gars, donnez lui un autre rôle que celui du petit méchant gars qui se fait entuber par tous les bouts, Peter sache que je ne t'en veux pas et que restera toujours pour bibi le gars frustré de Jarhead qui meurt à la fin ). 

    green lantern

    Les Schtroumpfs -ces petits nêtres bleus-: les schtroumpfs pour moi, c'est surtout LA bd de mon enfance, un truc que je lisais pour me marrer, j'avais mes préférés, ceux pour lesquels je relisais toujours les histoires… Alors j'étais drôlement septique de les voir sur grand écran (et ça c'est finalement décidé à la dernière minute ce visionnage). Finalement, les voir comme ça en image de synthèse, ça m'a toute émue, c'était drôlement bien fait, les minutes avant l'apparition de Gargamel ont été féeriques (si, si), niveau image et magie c'est le top. Et puis pof, on voit de vrais acteurs, de vrais humains de chair et d'os, passé le choc on s'habitue, et puis on voit défiler des têtes qu'on connait (coucou Barney), et puis on regarde, on se laisse attendrir comme des gosses de 8 ans (la femme derrière moi a PLEURÉ les gens, elle a PLEURÉ), et puis vient la fin, les 2h je les ai pas vu passé, c'est plein de répliques bien placées, de références à des films (le coup du "libertééééé" lancé par le schtroumpfs téméraire qui est écossais m'a beaucoup fait rire -j'étais la seule à avoir vu Braveheart dans la salle je pense…), bref on passe un très bon moment :)

     les schtroumpts

    Cowboys et envahisseurs : film tiré d'un bouquin, produit par Spielberg et Ron Howard ayant pour thème les extraterrestres et mettant en scène James Bond et Indiana Jones : je me suis laissée séduire. Finalement le mélange western/SF est un peu étrange. On voit que l'auteur a voulu respecter les codes des westerns (du genre avec son lot de : vol d'or, de fils prodigue, d'indiens, d'embuscades), le problème c'est qu'on le voit trop dans le film, ça m'a un poil gêné dans le sens que du coup je me disais tout le temps "tiens ils nous ont pas encore fait le coup de ci, ou le coup de ça" et deux minutes après pof, la scène en question arrivée. Le reste est pas mal, de bon effets spéciaux, une idée de base originale, des héros au top de leur forme, des méchants VRAIMENT méchants. Sympathique donc. 

     cowboys et envahisseurs

    One day : Pour apprécier ce film il faut d'abord aimer Anne Hathaway et Jim Sturgess, les aimer pour leur force de jeu, leur justesse, les aimer pour leur bouille adorable et la symbiose de leur relation. Il faut aussi aimer les villes qu'ils parcourent, sentir cette chaleur, cette sensation qui n'appartient qu'à elles. J'ai aimé voir leur histoire, j'ai aimé revoir Edinburgh dans toute sa splendeur, l'Edinburgh féerique et magique, d'une beauté splendide, j'ai aimé les voir parcourir la France, sa côte, Paris, ses cafés, ses croissants, son charme d'autrefois. Pour beaucoup de ces raisons (qui me sont propres mais qui doivent parler à d'autre gens), j'ai aimé ce film, cet amour, leur amour qui bien qu'il se déroule pendant des décennies, ne dure que trop peu de temps. 

     un jour

    Un heureux événement : Rémi Bezançon est mon réalisateur français préféré (avec Sylvain Chomet). Tous ces films (ces 3 films), sont pour moi parfaits dans leur genre. Ils racontent des histoires de tous les jours, sans les exagérer, juste mettre une touche d'humour quand il faut, où il faut. Il a se timing, cette force de faire passer des émotions humaines de les tortiller pour mieux les transmettre. Les acteurs ici sont plutôt bons, et même s'il y a quelques passages longs (ça doit être du fait que j'ai pas encore vécu ça), le tout reste brillant, merveilleux et plein de bons sentiments.

    un heureux événement


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  • Animal Kingdom : "Bonjour j'ai perdu ma mère alors je vais voir chez ma grand mère si la vie est meilleure… Est ce qu'elle l'est ? Non, sûrement pas, parce que j'ai malheureusement à me coltiner 4 oncles tous pourris jusqu'à la moelle." Voilà, le spitch de ce thriller familial, qui finirait presque comme il avait commencé. Entre temps, on comprend pas tout : pourquoi bordel de merde les flics butent le tonton sans que celui-ci n'est même pas levé le petit doigt ? pourquoi nom de zeus, cette putain de musique pesante ne s'arrête jamais ? (un peu ça va, mais faut pas déconner, le film ENTIER c'est trop long). Des pourquoi j'en ai eu des tas en sortant du ciné, des choix de réalisateurs que j'ai trouvé assez frustrants, pourtant le tout reste un bon film, mais il aurait pu être largement meilleur. Il tient qu'à la force de jeu des acteurs qui sont tous époustouflants (par contre non studio ciné live, Jackie Weaver est loin de m'avoir convaincue… et c'est bien la seule)

    animal kingdom

    Hall Pass : Oh tiens, ça faisait longtemps que j'étais pas allée voir un film du frat pack : voilà qui est fait. J'ai été drôlement surprise par le nombre de fois où j'ai rigolé (autant de fois que pour Very bad trip), j'ai rigolé de voir Owen Wilson en quarantenaire trainant de la jambe, de voir Jason Sudeikis sûr de tirer le coup du siècle, de voir ces phallus qui sortent de nulle part et ce moment absolument brillant du atchoumage/caca. Alors oui, c'est de l'humour gras, de l'humour de collégien parfois, mais mélangé à ces hommes à la recherche de leur jeunesse ça passe comme une lettre à la poste. Après, il reste toujours des clichés à la pelle, mais c'est le genre qui veut ça, et tant que ça gâche pas le tout…

    hall pass

    Source code : Jake Gyllenhaal, je l'ai toujours aimé, depuis Donnie Darko notamment, film number one dans le classement des films préférés de bibi. Alors quand j'ai vu que Gyllenhaal était à l'affiche d'un film sur le voyage dans le temps j'aurai presque sauté de joie. Mais je me suis retenue, me disant qu'un truc pareil, c'était à prendre avec des pincettes, ça faisait trop blockbuster pour que ça soit vraiment bien. Bah en fait, non, c'est vraiment bien, sauf la fin… je m'explique. C'est une histoire dans l'histoire dans l'histoire, ça part tout simple avec l'histoire du gars qui retourne dans le passé pour chercher un truc, mais en fait, ça retourne dans le présent et du coup y'a un double mystère. Tout est bien ficelé, les acteurs sont parfaits, y'a juste cette fin qui vient tout gâchée (il aurait pu s'arrêter au moment où ils étaient tous figés, ça aurait été parfait)…

    source code

    Tomboy : J'avais vu la naissance des pieuvres y'a quelques mois, un peu par hasard, parce que je cherchais des films avec Adèle Haenel, la petite des Diables. Je l'avais trouvé vraiment bien, dans la façon de voir les choses, de les filmer. Tomboy confirme ça, et bordel, Céline Sciamma a le don de trouver des acteurs brillantissimes, parce que trouver une petite comme Zoé Héran fallait le faire : elle est tellement juste, ses silences sont des mots, elle est impressionnante de vérité et surtout on ne voit qu'elle, elle captive, elle fascine. Je trouve en général le jeu des enfants plus juste que ceux des adultes, et cette petite là m'a confirmé ce ressenti (tiens, si on lui donnait un césar ?). Alors même si le film m'a parut trop courte, le scénario un peu léger parfois, ça n'entame pas l'enthousiasme que j'ai eu pour ce film en le regardant, il est brillant et c'est surement l'un des meilleurs films français de ce "début" d'année. 

    tomboy


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  • J'ai vu seulement deux films cette semaine au ciné (je dis "seulement" mais c'est quand ce moment, pour moi, deux films c'est très peu)

    Mon père est femme de ménage : Vu en avant-première avec la réalisatrice/auteur Saphia Azzeddine et la productrice (qui a mon avis a bien fait de miser dessus), Mon père est femme de ménage est un petit bijou pour les amateur de dialogue bien senti, avec des répliques déjà cultes et des répartis génialissime. Alors OUI, c'est trop court, OUI, en fait, on voit pas tant que ça le père (la vérité est ailleurs), et OUI, ça s'axe parfois un peu trop sur les gosses de banlieue qui se lancent des vannes racistes (mais, ça passe tellement tout seul, qu'on se demande presque comment elle a fait pour que TOUT le monde puissent rire de tout sans que ça gène). Alors même si des fois le scénario est un peu revu, ce film reste quand même une comédie pleine de fraicheur, amenait par des gosses géniaux (Jules Sitruk qui remontre sa tête, et j'ai été ravie de revoir le fils à Jo - Jérémie Duvall - qui en plus d'avoir une bouille sympathique, joue vachement bien). Et puis juste pour voir François Cluzet balançait des répliques mémorables ("t'aurais une petite queue, que je te filerais un bout de mes fesses pour faire une greffe") ça vaut vraiment le coup. (aaah, que j'aimerai que ce film fasse plus d'entrées qu'un film avec Lucchini…)

    mon père est femme de ménage

    Le rite : C'est l'histoire d'un type qui croit pas en la possession, il sait même pas s'il croit en Dieu, le problème c'est qu'il a fait des études pour être prêtre (logique). Alors quand on lui dit d'aller faire un tour au Vatican pour voir ce qu'il en est des exorcismes, le bonhomme dit "oui pourquoi pas, mais personnellement j'm'en fous un peu". Et c'est ça, que j'ai bien aimé dans le début de ce film, c'est de voir toutes ces choses paranormales du côté d'un septique (ce qui n'est pas fréquent dans les films d'exorcisme). Mais le problème, c'est que bien sûr le bonhomme change de bord à la vue de ce que lui montre Anthony Hopkins (qui rejoint à certains moments son personnage d'Hannibal Leclerc, c'est tellement frappant qu'on dirait qu'il va sauter sur ce pauvre irlandais de Colin O'Donoghue pour le bouffer…). Sinon, bah ça reste un film d'exorcisme très moyen (ça fait pas peur, et y'a pas de possession si extraordinaire que ça)… (ah et sinon voir le Jules César de Rome en prêtre au Vatican ça fait toujours bizarre)

    le rite


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  • The silent house (La casa muda) : j'ai été voir ce film juste par curiosité, parce qu'il faut dire que ce film a été tourné en un seul plan séquence, ce qui est quand même un peu fou… et si on vous dit qu'en plus, c'est un film d'horreur ESPAGNOL, je pouvais pas dire non. Alors au final, j'ai bien aimé l'histoire (et c'est dommage que cette fin ne soit pas mise en avant plus tôt, on a pas tellement le temps de se faire à la psychologie du personnage). Le plus gros défaut, vu que c'est "en temps réel" c'est qu'on passe notre temps à regarder l'héroïne passer au peigne fin les armoires et les bibliothèques qu'elle croise sur son chemin, et ça, y'a pas à dire, c'est juste chiant.

    la casa muda

    Route Irish : Alors, j'ai pas compris pourquoi les critiques de ce film sont très moyennes (bah QUOI les gens, route irish, n'est PAS un film sur l'Irlande et cela même si c'est de Ken Loach, ça a du les frustrer je sais pas…), parce que moi, j'ai beaucoup aimé. Alors certes ça se concentre sur la vengeance d'un type dont l'ami est mort sur la route Irish, la route la plus dangereuse du monde. Qu'est ce qu'il faisait là, pourquoi ? c'est ce que Fergus essaye de découvrir. Mark Womack (apparemment c'était son premier vrai gros rôle, parce que le monsieur fait plutôt dans les séries télé généralement) est grand acteur, il a cette force, cette hargne pour jouer ce genre de rôle, ça lui va vraiment comme un gant et c'est peut être grandement grâce à lui que j'ai apprécié le film (même si l'histoire est pas mal).

    route irish

    Au bistro du coin : J'ai toujours bien aimé Fred Testot (par contre vous me ferez jamais regarder le SAV, je trouve pas ça drôle), et alors si en plus de Fred Testot vous ajoutez les trois quart des gens qui m'ont déjà fait rire autre part (j'étais aux anges de revoir Eric Massot et Manu Joucla des Nous c Nous, Frédéric Bel de la minute blonde -qui mannnnnque-, Vincent Desagnat -que j'avais adoré dans Le carton-, Anne Girouard - qui est toujours formidable quelque soit ses rôles Guenièvre power !-, Arnaud Tsamere -Captain sports-extrêmes !!!- et tant d'autre, j'vais pas tous les citer ça me prendrait trois pages), alors regarder ce film c'est un peu comme retrouver des copains, et je pense que c'est ce qu'ils ont voulu faire au départ, rassembler des acteurs dont on connait les têtes mais qu'on ressitue pas forcement mais qui donnent cet impression étrange d'être les voisins d'à côté. Ça donne un côté vraiment sympathique à la chose, et même si y'a pas mal de faiblesse dans ce film, on en garde quand même une sensation de bonheur gentillet (oui j'ai pas trouvé d'autres mots en fait)

    au bistro du coin

    We want sex equality : L'Angleterre, ses usines Ford, sa pluie, ses femmes qui font la grève. We want sex equality raconte l'histoire vraie de ces femmes qui se sont battues pour leurs droits à avoir un salaire égal à celui des hommes. Le scénario et l'histoire en elle-même sont intéressants (bien que j'ai eu l'impression que ça avait déjà été traité souvent auparavant - j'ai du voir trop de films du genre), mais ce qui m'a posé problème, c'est Sally Hawkins, j'aime beaucoup cette actrice, parce qu'elle a une tête sympathique, qu'elle est toute douce, qu'on a l'impression qu'elle peut pas faire de mal à une mouche. Le problème c'est que dans ce film, elle est censée incarner la révolte des femmes, c'est elle la porte parole, et qu'elle parait toujours aussi gentille qu'un bébé nouveau né, et ça m'a du coup pas trop trop convaincu, du coup mon impression du film en a pâti… Ce qui est bien dommage.

    we want sex equality


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