• J'ai critiqué un film avec Jared Padalecki l'autre jour, il fallait bien que je fasse de même avec Jensen Ackles. 
    Je prends donc pour exemple de la filmo ciné pas très longue du bonhomme le film Devour, Le jeu des damnés pour les frenchis que nous sommes.

    C'est l'histoire d'un étudiant qui se trimballe dans la forêt et qui tue une grosse bébête, le problème c'est que les trois quart des trucs qu'il voit c'est des cauchemars à répétition (du genre coucou je tue mes parents avec un flingue, ou coucou je me coupe la langue avec un canif), est-ce un psychopathe ou pas ? La question se pose.
    Ce brave garçon vient d'avoir 21 ans, et ses meilleurs amis : un roux, et une blonde, pour fêter ça, inscrivent "Dean Winchester" à un jeu sur internet baptisé "le passage", une sorte de site qui donne des ordres aux internautes.

    jensen ackles devour

    Au fur et à mesure des jours, Dean, qui a toute la chance du monde avec lui, voit respectivement le roux se suicider à coup de crayon dans les oreilles, et de langue coupée, la blonde tuer ce pervère de prof d'histoire et mettre fin à ses jours juste après, et tonton mignon qui lui aussi est bizarrement tué par un arbre. Pendant ce temps là, Dean voit Satan partout et continue ses cauchemars étranges.

    Je vous passe les détails, mais après avoir perdu les 3/4 de ses personnes les plus proches, il se retrouve dans la forêt, avec ses deux parents pendus à un arbre, et une coupelle de liquide rouge juste en dessus, parce que le Dean est obligé de boire leur sang (parce qu'apparemment le petit Deanou est en fait fils de Satan). 

    jensen ackles devour

    Passer ce moment totalement WTF, la fin nous sort un questionnement qui comme par miracle remet le film en place : Dean après avoir été retrouvé inconscient en plein milieu de la scène du crime, se demande si c'est pas son cerveau dérangé qui l'a poussé dans ses retranchements… (du genre, oulala, reregarde le film tu trouveras la solution).

    jensen ackles

    Je pense que les scénaristes ont voulu nous balader un peu partout, un peu TROP partout… Voir toutes ses scènes de remémoration de souvenirs enfouis, nous brouille complètement, et là où je voudrais croire à l'hypothèse du fou, toutes ces choses me bloquent, c'est vraiment dommage, parce qu'au final, on est assez loin du film d'horreur pour ado classique avec tous ces codes donnés. 

    Un film un peu étrange donc, pas indispensable...


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  • Review caca de la Maison de cire version 2004 c'est parti : 

    Rien ne va plus. La fille de Jack Bauer, Kim, est en fait la soeur jumelle de Lucas Scott, Lucas Scott qui est devenu tout d'un coup le rebelle de base. Kim Bauer sort avec Sam Winchester. Y'a le type de Scary movie qui nous fait un remake du projet Blair Witch avec sa caméra et Paris Hilton refait une sex tape. Tout va bien donc. 

    Sam Winchester se fait avoir comme une bleusaille, c'est le premier à finir en machin en cire, somme toute illogique c'est lui qui aurait du rester : c'est le seul à avoir combattu des démons à mains nues. Le deuxième à partir c'est le type de Scary movie qui sert à rien, après on a le droit au copain de Paris qui meurt et qui remplit le quota de black mort dans un film, pareil pour Paris la blonde à soutif rouge qui court dans les forêts, qui se fait tuer juste après avec un magnifique piquet dans ta face. 

    the house of wax, jared paladeckiSam Winchester va terminer en bougie, c'est juste triste à voir

    Faut dire qu'à côté, Lucas Scott se défend bien avec les arbalètes, et que Kim Bauer a retenu quelques leçons de son paternel. Alors tous les deux, nous rejouent le coup du "on est des jumeaux unis pour la vie même si on est très différents quand même". 

    Le type vilain méchant à la flèche dans le coeur brillamment tirée par Lucas Scott (il a une main adroite et un oeil de lynx c'est ça de jouer au basket), renait de ses cendres, et attention oh mon dieu, Kim Bauer s'aperçoit que sa copine blondasse et son copain black sont décédés plein de sang partout, alors là le méchant vilain engueule son frangin à poils longs parce qu'il a encore tué des gens le sale bougre. Oui, parce que les vilains méchants sont jumeaux eux aussi.

    the house of wax, chad michael murray, elisha culbergKim Bauer, Lucas Scott

    Et là Kim Bauer explose la gueule au méchant du genre avec une batte de baseball, le frangin du méchant qui est encore plus méchant, poursuit Kim (non mais tout le monde sait qu'elle se met toujours dans des situations pas possibles), du coup avec l'aide de frangin elle réussi à s'en sortir, et tous les deux sortent de la maison de cire qui commence à fondre parce qu'il y a le feu… Et c'est quoi cette fin ? oulala "ils n'avaient pas que 2 fils, ils en avaient 3", et donc ? 

    la maison de cireLe black, la blondasse, Lucas Scott, le type qui sert à rien, Sam Winchester et Kim Bauer

    Bref, à par le fait que j'ai regardé ce film parce que je voulais rigoler un bon coup, je l'ai pas trouvé très très divertissant -même pour rigoler-, c'était juste chiant, on connait la fin depuis le début (même l'ordre des gars qui vont mourir), les personnages sont top top clichés, bref, je m'attendais à rien, j'ai été servi par rien. (mais bon on s'en fout, j'ai vu le torse de Lucas Scott et Sam Winchester). 
    (je voulais faire une review d'un film un peu nul, voilà qui est fait :) ) 


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  • Tiens, j'ai retrouvé des critiques anciennes que j'avais jamais mises auparavant, donc bah : 

    Country song : J'avoue je suis partie avant la fin (mais parce qu'il y avait un autre film que je voulais voir qui commençait mais si le film avait été vraiment bien je serai restée…). Alors voilà, Gwyneth Paltrow a du être bien frustrée quand les copaingues de son cher mari n'ont pas voulu qu'elle chante dans leur nouvel album (poor girl), alors madame pour se venger vient jouer la chanteuse country dépressive en cure de désintoxe, à côté de ça vous prenez une nana de Gossip Girl, vous rajoutez le beau brun aux yeux bleus qui chante bien, et vous obtenez un film plat, lent et chiant au possible (oualala attention Leighton Meiers chante sur scène en mini-jupe). Alors non, c'est franchement pas un film à voir. 

    country song

    De l'eau pour les éléphants : Je suis au regret de vous dire que Robert Pattisson sera catégorisé toute sa vie comme le faire-valoir des amourettes et des histoires d'amour qui sont belles, et qui se terminent jamais mal… Mais, apportez à ce garçon un script correct pour qu'on puisse enfin dire s'il est ou non un acteur qui en a dans le pantalon (j'ose pas le critiquer avant, parce que je me dis qu'après tout, y'a toujours un espoir d'amélioration). Bref, revenons à nos éléphants : j'ai jamais vu une histoire d'amour aussi niaise (et même qu'à la fin, ça se termine BIEN O-o, c'est dingo ça, j'avais plus l'habitude moi), c'est un peu homme parfait Vs homme très méchant qui fait du mal aux animaux (olala mad man), Christopher Waltz nous rejoue le coup du vilain méchant et Reese Witherspoon est toute mimi (et elle est tout le temps fourrée sur son éléphant). L'éléphante d'ailleurs est tellement bien dressée qu'on a envie de jouer à chat perché avec elle, et le truc même pas drôle c'est que les lions ont pas de dents (j'ai été choquée, j'aurai tellement voulu qu'il lui arrache le bras). En gros, bah euh bah euh bah euh… PFFFF, chiant...

     de l'eau pour les éléphants

    Safety Last : Voir ce film muet avec une bande son nouvelle et fraiche composée par le groupe Splendor in the grass c'était juste… magique. Je suis allée voir ce film à l'occasion des ciné/concert qui se déroulent dans la ville de Bordeaux. Du coup, j'ai pu voir un film culte que j'avais jamais vu en même temps qu'un concert du groupe, et ça c'était l'instant le plus magique que j'ai vécu en temps que concert ou film au ciné, parce que les deux réunis c'était vraiment un plaisir unique (et en plus quand des enfants à juste 2 mêtres de vous rigolent comme des fous devant un Harold Llyod, ça donne juste envie de rire de bon coeur à gorge déployée, et bordel ça fait du bien :) )

    safety last


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  • The Big Lebowski c'est un mélange de glandeurs, de malfrats, de bonhommes doux comme des agneaux, et… de bowling. Ce qui m'a poussé à regarder ce film c'est d'abord son côté culte (forcément, j'vais pas le cacher, les frères Coen à part O'Brother, j'ai pas vu grand chose - c'est pas faute d'avoir le dévédé de Fargo qui traine chez moi depuis des plombs). Bref, j'me suis donc lancée.

    the big lebowski

    The big Lebowski ça commence un peu le cul sur une chaine, et ça finit… le cul sur une chaine. En gros, c'est l'histoire d'un mec, un gros glandeur, qui a le malheur d'avoir le même nom qu'un gros richousse du coin qui vient de se faire kidnapper sa femme. Ça commence avec la perte d'un tapis, ça finit avec la perte de la bagnole (et pire encore, mais j'vais pas spoiler non plus). 

    the big lebowski

    J'ai qu'une chose à dire : si le scénario c'est un peu étrange (parce qu'il faut le dire c'est QUOI cette histoire ? ça finit un peu en queue de boudin en fait, tout d'un coup plus de problème mec), les acteurs sont géniaux. Je dis ça particulièrement à cause de ce génialissime Jeff Bridges, qui en mec en froc de pyjama réservé aux dimanches, nous prouve encore une fois qu'il est un mec cool (si, si ^^). Sinon, je suis une fan de Steve Buscemi qui ici joue le type doux comme un agneau, comme un bébé nouveau né, et cette fin là m'a paru un peu triste (mais pourquoiiiiii enfin !). À côté de ça, on a le droit à des moments d'anthologie (bonjour le léchage de boule de bowling monsieur Turturro), et à certains moments assez cocasses comme on dirait (le coup de la chaise et de la "marmotte" sont assez sympathiques).

    the big lebowski

    En bref, The big Lebowski donne surtout envie d'aller glander toute sa vie dans les salles de bowling. 


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  • Bubble Boy, c'est l'histoire un peu dingue, d'un jeune homme ayant vécu toute sa vie dans une bulle, n'étant pas immunisé contre les germes du monde extérieur. Forcément, il tombe amoureux de sa jolie voisine qui devient peu à peu sa meilleure amie. Lorsque celle-ci part à l'autre bout du monde pour se marier, notre jeune héros va enfin sortir et découvrir le monde à travers sa bulle, afin d'aller récupérer la fille qu'il aime.

    Bubble boy

    Bubble boy c'est le genre de film un peu fou, qui raconte l'histoire un héros extrêmement sympathique, découvrant le monde et ses bizarreries. Le film met en scène des acteurs qu'on a tous déjà vu quelque part : Jake Gyllenhaal en tout début de carrière, Swoosie Kurtz (Lily Charles dans Pushing daisies), John carroll Lynch (qu'on a pu voir dans Shutter Island, Gran Torino, Zodiac...), ou encore Verne Troyer (l'immanquable mini-moi d'Austin Power). L'histoire quant à elle, est particulièrement sympathique : on suit les mésaventures toutes aussi folles les unes que les autres de Jimmy le bubble boy, qui rencontre une foule de personnages haut en couleur (du motard, aux adeptes d'une secte). L'humour est partout, et souvent basé sur l'auto-dérision (le "chef" nain, qui exploite des freaks).

    bubble boy

    Bref, en deux mots, ce film est vraiment original et met en scène des acteurs qui s'en donnent à coeur, pour faire vivre cette histoire hors du commun. (et puis avec un happy end pareil, on peut que être conquis :) )

    Le dévédé : Pas de sous titre français, dvd en import, bref, c'est assez dommage, surtout que c'est un film familial donc accessible aux enfants...


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