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Sirens : épisode 1 Up, horny, down
Allez ! C'est parti ! J'me lance dans la review du premier épisode de LA série qui dramatico-comique de l'année : Sirens, tout ça en captures d'écran et en sous titres français (ce n'est pas moi qui les ai fait, donc désolé pour les fautes par ci par là, ça arrive même aux meilleurs d'entre nous après tout), pour que vous voyez l'étendue de la chose.
On commence fort : une voiture les pattes en l'air avec des ambulanciers qui s'activent autour, avec juste en suivant un combat verbal ambulanciers Vs pompiers :
Bambi ??? BAMBI exactement comme dans Scrubs dites donc.
Et parce que les pompiers font pas leur boulot, Stuart, notre héros du jour s'en va tâter du coeur ouvert pour le faire repartir, ce qu'il n'a absolument pas le droit de faire…
ET BOUM générique
Après ce début tonitruant, Ashley le roux nous sort une remarque tout a fait sensée :
Rachid le newbie, lui, est tout retourné par les événement :
Par contre Stuart, le héros, lui fait des blagounettes pas très propres au sujet d'une femme battue :
Parce que vous savez, c'est bien connu que :
Ashley et Rachid ne sont pas en reste, et cherche le meilleur moyen de se divertir après cette folle aventure :
Et vlà le requin qui déboule de nulle part, j'ai nommé la chef du département des ambulanciers :
Oui, oui, ils vont devoir aller voir un psy. Ils sont tous joie de cette nouvelle et vont donc voir cette nouvelle psy qui elle aussi fait des blagounettes :
Et leur parle de sentiments qui vont fuser dans leur cervelle pendant les prochaines 24h , ce qui donne résumé par Stuart :
Mais Stuart décide de combattre la fatalité :
On retrouve donc nos 3 comparses en train de déblatérer sur le goût merveilleux du bacon, sur l'exploit de Stuart et sur son combat contre l'adversité :
Juste après Ashley rentre chez lui, en chantant et découvre qu'il s'est fait cambrioler… du genre cambrioler télé, lecteur dvd, xbox, ordi et loin d'être emmerdé, Ashley saute au plafond : ouai il est assuré un max le bougre, et du coup il est content :
Pour Rachid ça se passe bien aussi :
Dans le genre euphorie on fait pas mieux.
Dans le genre excité non plus :
Stuart est toujours dans son rejet : "non moi j'aurai pas de sentiment", c'est sans compter sur son attribut masculin qui déclare la chose autrement :
Et mais il est plus que convaincu :
Pendant ce temps là, Ashley cherche son compagnon de lit sur internet, Stuart toujours a vraiment pas de chance, la nénette la plus hot du continent vient de débarquer chez lui :
Il la repousse pour se contenir le pauvre bougre.
La flic est en train de faire dodo quand elle entend un truc chez elle… c'est rien que sa mère qui vient faire le linge… et Stuart qui frappe à sa porte deux secondes après :
Rachid lui aussi est plus qu'excité :
Et je vous parle même pas d'Ashley qui s'est trouvé son copain de lit sur internet :
Ashley qui fait n'importe quoi et qui demande à son gars de jouer le stéréotype du black des rues… Forcément le gars est pas hyper d'accord, et Ashley cherche des excuses :
Mais après quelques minutes de réflexions, le copain a une meilleure idée :
Rachid a eu ce qu'il voulait avec la fille qu'il connait depuis 2 secondes on dit chapeau l'artiste :
Et le pauvre Stuart essaye toujours de contenir ses ardeurs :
Mais il a fait une grosse bourde le pauvre :
REALLY Stuart ???? et il s'enfonce encore plus :
Et elle le fout à la porte, et elle a bien raison !
ATTENTION
Mon moment préféré de tout l'épisode est enfin venu :KING OF THE NORTH À POIL DANS UN PLACARD !!!! Admirons un moment le profil parfait de Richard Madden.
Je peux même vous la faire en gif tellement c'est beau :Retour à l'hôpital après tant d'émotions, Stuart se vente d'avoir contrôler ses pulsions :
Genre coucou "je suis le maitre de ma propre destinée"
Sauf que madame la psy assure que se contenir c'est pire et elle en prend pour preuve :
Ouai, les nonnes, j'avoue, l'exemple est bien trouvé.
Jusque là tout va bien, et tout d'un coup :
La dépression s'empare d'Ashley et Rachid…
C'est la joie dans l'ambulance, pendez les tous.
Arrivé sur une bagarre Stuart se sent pousser des ailes et devenir philosophe :
La fliquette se pose des questions sur son sex-appeal, et demander à son collège gay ce qu'elle pense d'elle… et pose le doigt sur quelque chose d'étrange :
Collègue qui a des conseils et des remarques très intéressantes.
C'est là que nos trois comparses doivent faire fasse à un type qui veut sauter d'un pont et c'est à Stuart de s'y coller parce que vous comprenez :
Stuart qui essaye donc de raisonner le type suicidaire en lui gueulant dessus :
Type qui ne saute pas, brave gars.
Rachid est toujours au trente-sixième dessous :
Stuart rentre tout fier de sa journée à passer à combattre ses sentiments dans le bureau de la psy pour lui en foutre plein la gueule, mais forcément sa psy lui balance ça :
Et à Stuart de lui répondre ça :
Stuart qui va revoir sa copine flic, en lui offrant une brioche et qui lui sort :
(awwww, c'est meugnon)
- THE END -
Après un pilote pareil, plein d'humour, de trucs un peu mélancoliques, de répliques hyper bien placées, je mettais dis que j'avais ENFIN trouvé un digne remplaçant à la série Scrubs (série qui reste pour moi LA référence comique/tragique en matière de série -oui, parce que Scrubs joue parfaitement entre les deux registres-). Et ça bien été le cas par la suite (voui, vous aurez le droit à d'autres reviews) dans un registre légérement différent de Scrubs mais tout aussi drôle (et sur 50 minutes, donc challenge plus difficile donc), et j'ai juste envie de dire que l'annonce de l'arrêt de la série m'a juste donné envie de frapper très fort sur la tête des producteurs pour qu'ils entendent raison... Parce que des séries aussi bien, il en sort pas tous les 4 matins. Au départ j'avais regardé ce pilote juste pour voir ce que Richard Madden pouvait donner en dehors de Game of thrones, comme quoi finalement éplucher la filmo des acteurs, ça nous fait découvrir plein de trucs géniaux. (et bientôt j'vous parlerai de Takin' over the asylum, découvert en farfouillant dans la filmo de David Tennant)
Tags : sirens, richard madden, rhys thomas, Kayvan Novak
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