• Les sept mercenaires

    Parler des Sept mercenaires c'est un peu comme parler d'un film intouchable, il fait parti de ces films que quoique tu puisses dire dessus, quand bien même tu trouves des tas de choses à redire, ça n'en reste pas moins un film sympathique que tu te souviens comme un vieux souvenir d'enfance.

    Ce film est donc un remake d'un film japonais : Les sept samouraïs sorti 6 ans auparavant. Les sept mercenaires c'est avant tout un casting du tonnerre (Yul Brynner, Steve McQueen, Brad Dexter, James Coburn, Charles Bronson, Robert Vaughn, Horst Buchholz sans oublier le méchant Eli Wallach), avec un scénario simple (des braves petits paysans se font maltraités par un méchant cowboy alors ils vont faire appel à des mercenaires) mais rempli de touches d'humour et de phrases bien placées ("C’est le plus beau coup de revolver que j’ai jamais vu ! - Le plus mauvais. Je visais le cheval.") et surtout une musique inoubliable et magnifiquement géniale (je pourrais ajouter trois tonnes d'adjectifs en plus ^^) d'Elmer Bernstein. 

    Le fait d'avoir 7 personnages mis en avant, avec 7 types de personnalités différentes (plus le méchant et les gentils paysans) donne vraiment un ton particulier, chacun ayant son histoire à raconter. Au final, le film est très enfantin par beaucoup de côtés  <script type="></mce:script> http://www.blogg.org/admin/jscripts/tiny_mce/plugins/imagemanager/language/index.php?type=im&format=tinymce_3_x&group=tinymce&prefix=imagemanager_"></script> (le jeunot qui apprend à devenir mercenaire, l'humour toujours présent, les gosses qui leur tournent autour…), je me souviens l'avoir vu étant enfant et d'en avoir garder un bon souvenir (exactement comme la séquence dans le film Le premier jour du reste de ta vie, où l'on voit les enfants rejouer certaines scènes des 7 mercenaires). 

     

    magnificent seven

    En bref, ce western qui met en place un manichéisme fort, avec les 7 héros d'un côté, et le bon gros méchant de l'autre (et au milieu des gens sans défense), donne tout ce qu'on peut attendre d'un film du genre. John Sturges arrive toujours à manier le côté dramatique et le côté comique (ça se voit aussi pas mal dans La grande évasion).


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