• Doctor who - 6.09 - Night terrors

    Plus ça va et plus j'apprécie Doctor who pour son humour et pour son côté enfantin.

    Dans cet épisode "Night terrors", j'ai retrouvé -dans une moindre mesure- la peur que j'avais pu avoir quand j'avais regardé l'épisode "The empty child", parce que Doctor who est aussi une série qui fout les miquettes : vous avez toujours des espèces de monstres qui sortent de nulle part, qui se cachent derrière des placards, derrière un angle mort où vous pouvez pas le voir, partout, il y a des ombres qui rodent. 

    doctor who

    Dans 'Night terrors', on fait donc face, par les yeux de Georges, 8 ans, aux terreurs les plus enfantines : les monstres dans le placard, ceux qui nous réveillaient toutes les nuits, ceux qu'on s'imaginait venir nous dévorer dès qu'on avait les yeux fermés.

    Faut savoir qu'en Grande-Bretagne, c'est essentiellement un public d'enfants qui regardent Doctor who (contrairement à chez nous, mais je suppose que ça tend à revenir vers les petits avec la diffusion le mercredi sur france 4, espérons...), quand vous allez à une expo Doctor who c'est envahis de petits gars de 10 ans. 

    Alors on comprend mieux pourquoi le scénariste nous a pondu une histoire pareille avec une jolie morale à la fin. Parce que oui, cet épisode s'adresse directement aux enfants, à leur peur la plus primaire, à leur imagination trop débordante : on a le droit à des monstres dans le placard, créés de toute pièce par l'esprit du petit garçon (qui n'en est pas vraiment un en fait), des monstres peuplés de têtes horribles, où les gens se retrouvent emprisonnés dans une maison de poupées géante et se transforment à leur tour en monstre.

    doctor who

    La morale de tout ça, se tient en une phrase : "tu es le propre créateur de tes cauchemars, toi seul peut les faire disparaitre". 

    L'épisode est bourré d'humour avec plein de références à d'autres épisodes, Rory est encore mis en avant et confirme que son personnage est toujours aussi important que celui d'Amy, les séparer maintenant serait un sacrilège, et Matt Smith est toujours aussi brillant dans le rôle du docteur mais je pense que ça, c'est assez bien encré dans la tête des spectateurs depuis le temps...

     rory williams

    (Je vous avais promis une review d'un épisode de DW correcte et pas bordélique, voilà qui est fait, même si j'évite de raconter l'épisode en entier, d'autres le font beaucoup mieux que moi)


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